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La Bougie La Rose

Version « déco » du carnet, la bougie La Rose se distingue par un design délicat et féminin, en accord avec son parfum.

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Francis Kurkdjian, créateur-parfumeur de renom, oeuvre une nouvelle fois aux côtés de Papier d’Arménie pour créer la bougie La Rose. Élaborée à partir de roses de qualité provenant de Turquie et d’Iran, elle embaume les intérieurs de son parfum gourmand et enivrant.

La bougie la Rose est composée de cire végétale labellisée EcoCert, et d’une mèche en coton pour plus de 40 heures de combustion.

220g environ.

Conseils d’utilisation :

Assurez vous que la mèche soit bien droite et centrée. Avant chaque utilisation coupez délicatement la mèche afin de n’en laisser qu’un demi centimètre.

L'esprit Papier d'Arménie.

Écologie

Soucieux du respect de l’environnement, le Papier d’Arménie n’emploie pas de gaz propulseur, il est sans danger pour la couche d’ozone.

Les feuilles sont imbibées dans une solution à base d’alcool puis passées dans une solution saline naturelle permettant de ralentir leur combustion.

Le papier buvard servant à fabriquer le Papier d'Arménie est certifié par le FSC, organisme international indépendant qui agit pour une gestion forestière responsable au niveau mondial.

Respect

Le Papier d’Arménie représente une certaine idée de l’art de vivre, empreinte de bon goût et forte de ses convictions, qu’elles soient hygiéniques ou écologiques.

Depuis 130 ans, ceux qui apprécient, de génération en génération, la fabrication artisanale d'un produit de qualité savent que l'Esprit Papier d'Arménie incarne le respect de la tradition.

Originalité

Unique depuis son origine, le Papier d’Arménie est immédiatement reconnaissable.

C’est le seul parfum d’intérieur se présentant sous forme de papier à consumer.

Bien-être

Réputé depuis l’Antiquité pour ses propriétés antiseptiques, cicatrisantes et expectorantes, le baume de benjoin servait autrefois, en usage externe, à traiter l’asthme, la toux et les enrouements. Son action favorable sur la psyché et la gestion des émotions lui vaut les faveurs des personnes tendues. En Malaisie, on l’utilise lors des cérémonies pour éloigner les diables pendant la récolte du riz. Les Indiens, quant à eux, dédient ce parfum sacré au dieu Shiva.

Modernité

Le Papier d’Arménie fut inventé pour permettre aux Européens de découvrir les bienfaits du benjoin. S’il n’y avait pas de solution toute prête, c’est l’expérimentation et la méthode qui en firent son succès.

Toujours en quête de perfectionnement et d’amélioration, le Papier d’Arménie continue d’innover. Ainsi, ces dernières années, de nouvelles fragrances et une ligne de bougies ont été créées, la gamme de brûleurs s’est étendue, les formes de découpe et de présentation ont été repensées.

L'aventure

La naissance

L’histoire du Papier d’Arménie débute au XIXe siècle. Lors d’un voyage en Arménie, Auguste Ponsot remarque que les habitants parfument et désinfectent leurs maisons en faisant brûler du Benjoin. Séduit par cette pratique traditionnelle et écologique, il décide d’importer ce produit en France.

Son associé, le pharmacien Henri Rivière, découvre alors qu’en faisant dissoudre le benjoin dans de l’alcool à 90° on obtient une odeur persistante. L’ajout de parfum donne un mélange aromatique agréable et tenace. Il ne reste qu’à trouver un support. Ce sera le papier buvard qui absorbe le mélange tout en conservant l’odeur originelle du Benjoin et se consume lentement sans faire de flamme.

Un développement exceptionnel

Après de nombreuses tentatives, le produit recherché est enfin au point. Le Papier d'Arménie est couronné de succès, notamment à l'Exposition d'hygiène de 1888 et à l'Exposition Universelle de 1889. Au cours de celle-ci, convaincus de l'efficacité et du caractère antiseptique du papier, les deux inventeurs placèrent deux morceaux de viande sous deux cloches, faisant brûler dans l'une d’entre elles du Papier d'Arménie. Au bout d'une semaine, la viande ayant "respiré" les effluves du papier était encore consommable, alors que l'autre était faisandée. Une expérience qui a marqué les esprits…!

Le rayonnement culturel

Elle sortit de sa poche un carnet vert qu’elle ouvrit sur des pages de papier couleur tabac traversées par des pointillés de perforation. Elle détacha une bande et l’alluma à la bougie, soufflant vite sur la flamme pour que le papier se consume sans flamber.

“Respire ! dit-elle. C’est du papier d’Arménie, ça sent très bon !  ”

Les allumettes suédoises, Robert Sabatier, Le Livre de Poche / Albin Michel, 1992

LAISSER BRÛLER

LES P'TITS PAPIERS

PAPIER DE RIZ

OU D'ARMÉNIE

QU'UN SOIR ILS PUISSENT

PAPIER MAÏS

VOUS RÉCHAUFFER

Les petits papiers Paroles et Musique: Serge Gainsbourg   1965 © Sidonie 1965

Le Papier d'Arménie fait partie intégrante de notre culture, marquant l'œuvre de grands auteurs comme Gainsbourg, Perec ou Sabatier. 

La fabrication

Le benjoin du Laos

Apprécié pour ses notes sucrées, vanillées et balsamiques, le benjoin est employé comme fixateur en parfumerie, par Guerlain pour Shalimar par exemple. Sans benjoin, le Papier d’Arménie ne serait pas devenu ce qu'il est. Cette résine est issue du styrax, un arbre qui pousse dans les forêts d'Extrême-Orient, notamment dans l'ancien Laos. Lorsqu’il atteint un diamètre d'environ 15 cm, des entailles sont faites dans son écorce afin que la résine puisse s’écouler. Six mois plus tard, elle peut être récoltée sous la forme de "larmes", c'est le benjoin brut. Un arbre produit 1 à 3 kilos de benjoin par an.

Cette résine contient environ 25% d'acide benzoïque, ce qui lui confère des propriétés antiseptiques.

Des composants naturels

Le papier buvard employé pour fabriquer le Papier d’Arménie est une fibre d’origine naturelle. Sa teinte acajou provient du bain dans lequel les feuilles s’imbibent du parfum complexe du Papier d’Arménie. Certains de ses composants aromatiques font partie de ses secrets de fabrication.

Le savoir-faire d’un produit de luxe… 6 mois de fabrication

C’est à Montrouge, dans la banlieue Parisienne, qu’est implanté l’atelier où se fabrique depuis toujours le Papier d’Arménie, dans le respect de la tradition artisanale. Sa production nécessite plusieurs phases. Pour ce faire, 12 personnes, dont 8 à l’atelier, traiteront avec amour la fabrication du petit carnet, sous le contrôle minutieux du responsable du laboratoire. Tout commence avec le styrax officinal, la meilleure résine de benjoin.Livré sous forme de « larmes », l’atelier en importe 2 tonnes par an.

Selon un rituel immuable, la résine est dissoute dans l’alcool durant 2 mois. Puis sont ajoutés les extraits de parfums. Le mélange obtenu vient imprégner un papier spécial de type buvard, une opération entièrement manuelle, réalisée feuille à feuille. Une fois le trempage, séchage et autres opérations terminés, les feuilles sont mises sous presse pendant 1 mois.

Et ce n’est qu’au terme d’un parcours de 6 mois qu’elles pourront être perforées, découpées, assemblées et mises sous carnets.

Une gamme qui évolue

Les papiers

Le carnet Triple, créé en 1885. Des notes sucrées, vanillées et balsamiques rappelant les senteurs de l’Orient.

Le carnet année de l’Arménie. Des senteurs d’encens et de myrrhe répondent à des notes boisées et vanillées. Il est né de la rencontre de Mireille Schvartz et Francis Kurkdjian, créateur-parfumeur de renom.

Le carnet la Rose, imaginé à nouveau par Francis Kurkdjian. Avec des roses importées d’Iran et de Turquie, il compose un diptyque olfactif porté par une rose gourmande et fruitée comme une confiture de pétales aux accents miélés.

La boîte 1900 rééditée. Le visuel historique illustre les médailles et autres prix remportés par la marque. Un conditionnement original contenant 12 carnets Triple.

Les bougies

Les bougies Papier d’Arménie ont été créées par Francis Kurkdjian. Écologiques, elles sont composées de cire 100% végétale et d’abeille et d’une mèche en coton. Elles offrent plus de 40 heures de combustion.

La Bougie rappelle l’univers olfactif du légendaire carnet Triple de Papier d’Arménie.

La Rose restitue les fragrances du carnet La Rose.

Arménie allie des senteurs de cèdre, de feuilles de cannelier, de sauge et de lavande.

Les brûleurs

L’étoile d’Arménie. Un brûleur déco qui permet aux bandelettes de diffuser leur parfum.

Le kit. Fruit d’un concours de création, il rassemble les éléments Papier d’Arménie dans un boîtier original, léger et astucieux.

Soucieux de la santé et du bien-être de ses consommateurs, Papier d’Arménie a fait appel à deux laboratoires d’analyses accrédités et reconnus ainsi qu’à des experts scientifiques de renommée en toxicologie et en qualité de l’air intérieur.

Cela a permis d’obtenir la meilleure évaluation possible du produit et de travailler, si nécessaire, à son amélioration.

Les analyses effectuées donnent des résultats satisfaisants pour la santé des consommateurs respectant nos conseils d'utilisation mentionnés sur les produits.